Hier soir, à la maison de l'UNESCO, était présentée une toute nouvelle série de reportages, "Les Artisans du changement", qui sera diffusée sur la chaîne Ushuaïa TV à partir d'octobre...
Pour cette occasion, les nombreux participants qui remplissaient la salle ont eu droit à la projection de l'épisode 2 : Philanthropie et capitalisme, l'impossible mariage ?
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Les épisodes, sur un format de 52 minutes, présentent chacun 3 artisans du changement, 3 histoires qui mettent en avant des projets durables. Dans l'épisode 2, la Grameen Bank au Bangladesh avec Muhammad Yunus, Ashoka, avec Bill Draydon, et Alter Eco, avec Tristan Lecomte.
Synopsis : Existe-t-il une voie permettant à tous de profiter des richesses de notre planète sans compromettre les ressources des générations futures ? La réponse se trouve aux quatre coins du globe, auprès d'hommes et de femmes qui ont réussi à créer de nouveaux modèles de développement économique. Innovateurs, ils ont décidé d'emprunter une nouvelle voie pour une croissance durable et soutenable, pour l'homme comme pour la planète. Ils sont agriculteurs, chimistes ou architectes, médecins, commerçants ou banquiers... Ces Artisans du Changement cherchent et mettent en oeuvre des solutions innovantes aux menaces qui pèsent sur notre avenir...
Loin de tout militantisme écologique ou politique, les Artisans du Changement sont avant tout des entrepreneurs. Cette collection documentaire propose d'aller à la rencontre de ces pionniers d'un genre nouveau. Ils croient en un capitalisme créateur de richesses sociales, économiques et environnementales. Ils ne sont heureusement pas les seuls à promouvoir de telles idées, mais ces Artisans du Changement nous apportent la preuve, au quotidien, à leur échelle, que c'est possible.
L'idée de départ, portée par Muriel Barra (Lato Sensu Productions) et Jacques Legros (TF1), est partie de la lecture du livre "80 hommes pour changer le monde" et du désir de porter à l'écran un contenu média qui sorte de la théorie et qui montre le concret de ces femmes et hommes, porteurs de projets, qui ne sont pas des héros, mais qui ont su, à leur niveau, résoudre des problèmes en étant créatifs, inventifs, innovateurs...
Au final, des reportages porteurs d'espoirs, qui démontrent que le changement est possible, que la "crise humaine" n'est pas inéluctable, et qui mériteraient d'être diffusés sur une grande chaîne, dans un esprit de mission de service public, par exemple...