Bic... la marque devenue un mot courant et qui fait partie de notre enfance, de notre jeunesse, qui nous accompagne au fil du temps... et qui continue d'exister, joue elle aussi la carte verte.
Mais est ce que écrire sur une grenouille c'est très écologiquement correct ?
Un peu d'histoire...
Lorsqu’en 1950, Marcel BICH lance, à Clichy (France), son fameux stylo-bille BIC® CRISTAL, le logotype est alors formé des trois lettres « BIC » intégrées dans un parallélogramme rouge arrondi.
Au début des années 60, Bic distribua aux écoliers des buvards publicitaires, réalisés par les dessinateurs Savignac et Effel ventant sa « pointe bille », simple et rapide pour une écriture en souplesse et à longue distance (des kilomètres). Quelques enseignants livrèrent des combats d'arrière-garde en interdisant l'usage de cette pointe : en effet, elle supprimait les pleins et les déliés qui faisaient le charme de la plume Sergent-Major. En vain. Dès 1965, le ministère de l'Education nationale autorisait l'apparition du stylo à bille au sein de l'arsenal scolaire du potache, où il fut fréquemment promu au rang de sarbacane. Dorénavant, le stylo à plume se maintiendra, souvent comme objet de luxe, alors que le stylo à bille se lancera à la conquête du monde.
GC.